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UNE FOIS PAR SIÈCLE (in progress)

ONCE IN A CENTURY
PARIS DURING THE OLYMPICS, AN OUTSIDER'S VIEW, AUGUST 2024

Rue du Départ, Montparnasse
La Vasque de la flamme Olympique, Jardin des Tuileries
La tour, ses anneaux et la Seine
La Vasque de la flamme Olympique s'envole chaque soir à dix heures et il est question qu'elle reste
Les palmiers sur les quais
Le pont décoré
Fan Zone de l'Hôtel de Ville
Fan Zone de l'Hôtel de Ville
Rue des Archives
Fan Zone de l'Hôtel de Ville
Musée de l'homme, Place du Trocadéro
Musée de l'homme, Place du Trocadéro
Spectateurs en ligne, Place du Trocadéro
Entrée des spectateurs, place du Trocadéro
Bénévole, Place du Trocadéro
Les gendarmes omniprésents
Polska, vue de métro
Ligne 6
D'heureux supporters
Heureux touristes
Les quais de Seine transformés
Les quais de Seine transformés
Le pont reliant le site du Trocadéro à celui du Champ de Mars
Fan Zone de l'Hôtel de Ville
La Samaritaine
Les quais de Seine vidés de leurs habitudes
Les quais de Seine vidés de leurs habitudes
Travailleur des jeux
La Garde Républicaine
La Vasque de la flamme Olympique dans le ciel de Paris

UNE FOIS PAR SIÈCLE
Paris pendant les Jeux Olympiques

Comme beaucoup de Parisiens et comme beaucoup de gens qui ne s'intéressent pas au sport, j'ai ralé pendant les mois sur les stations qui seraient fermées, le prix du ticket de métro qui allait doubler et le bordel qu'engendrerait un tel événement pour circuler dans la ville en voiture ou en transports.
Et puis les Jeux Olympiques ont commencé.

Enfant déjà, les J.O. étaient la seule compétition sportive qu'il m'arrivait de regarder à la télé. J'ai vite été emportée par les compétitions et les athlètes, et en rentrant de Bretagne avant de repartir dans le sud, j'ai profité d'une semaine parisienne pour me promener dans les rues puisque la chose ne se passe qu'une fois par siècle chez soi, au mieux.

J'ai alors regretté de ne pas m'être inscrite sur les listes qui permettent d'entrer dans les fan zones, installées notamment sur le parvis de l'Hôtel de ville ou au parc Monceau. Je suis allée capturer la vasque olympique dans le ciel, j'ai sillonné Paris et j'ai été émerveillée par une ville vidée de ses voitures, par l'humeur des gens que j'ai pu croiser, et j'ai tenté de faire un reportage qui a ses limites : une vue d'outsider puisque rien ou presque n'était visible de l'extérieur.

J'ai capturé les rues vides et les barrières partout, la police qui était omniprésente, les quais de Seine où se sont installés des restaurants éphémères et autres spots de pique-niques, la Tour Eiffel ornée de ses anneaux, un gilet violet qui selon un article représente la précarité derrière les J.O. et quelques-uns de 45000 volontaires qui ont rendu la fête plus simple pour les spectateurs. 

Une vue d'outsider me semble bien peu intéressante, surtout que les images démentes ne manquent pas, vu les sites extraordinaires qui ont été réquisitionnés pour les épreuves. Pourtant comme l'événement n'a lieu qu'une fois par siècle, il m'a semblé évident qu'il fallait tenter d'en capturer quelque chose, et après tout les monuments parés de leurs robes éphémères, les queues interminables et les rues désertes ou barricadées disent aussi quelque chose de la manière dont les Parisiens ont pu voir les JO... sans rien voir.



 

ONCE IN A CENTURY 

Paris during the Olympics

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